Je m’appelle Raphael, je suis né dans notre belle capitale, Bruxelles, dans la commune de Uccle, dans la fin des années ’70. J’ai grandi dans une famille aimante, dans des conditions très appréciables et je remercie mes parents pour l’éducation qu’ils m’ont enseignée, ainsi que pour les valeurs qu’ils m’ont transmises. Depuis mon plus jeune âge, j’ai été fasciné par le pouvoir des mots et par l’art de raconter, ou d’écouter des histoires.

C’est cette passion qui m’a poussé à explorer le monde de l’écriture, à affiner mon style et à trouver ma voix en tant qu’auteur. Au fil des ans, j’ai modelé ma plume à mon image, mais pas au travers de livre ou de publication. Je ne me considère pas spécialement comme un écrivain, je suis simplement un homme passionné qui trouve dans l’écriture un moyen d’explorer le monde et de partager mes pensées avec les autres. D’ailleurs, il n’est pas nécessaire d’être “grand” pour faire ce que l’on aime. L’important, c’est d’essayer, … et ceux qui pensent que c’est impossible sont priés de ne pas déranger ceux qui essaient.

Mon inspiration vient de plusieurs sources différentes. Tout d’abord, j’ai puisé mes écris dans mes propres expériences de vie, notamment en tant qu’enfant, avec la vision du monde que l’on peut avoir à 5, 10 ou 15 ans. J’ai toujours éprouvé une énorme satisfaction à rencontrer des gens, à découvrir leur monde et à écouter leurs histoires de vie qu’ils n’hésitaient pas à raconter à toutes les oreilles un tantinet attentives. Je puise également mes idées dans les rencontres inspirantes que j’ai pu faire tout au long de ma vie, qu’elles soient personnelles ou professionnelles. Grace à mes diverses professions, j’ai pu rencontrer une multitude de personnalité aussi étrange que variée. J’en ai systématiquement gardé le meilleur. J’espère avoir aussi marqué quelques âmes dans ce bas monde.

Pour écrire « Noël les Origines », j’ai puisé dans ces différentes influences, mais j’ai également laissé une grande place à mon imagination et à ma créativité. Mon processus d’écriture a été à la fois rigoureux et organique, mêlant recherche approfondie, introspection et moments d’inspiration spontanée.

« Noël, les Origines » est bien plus qu’un simple recueil de mots. C’est un voyage à travers des idées, des émotions et des réflexions qui me tiennent à cœur. En explorant des thèmes tels que la rencontre entre Saint-Nicolas et l’âne qui deviendra son plus fidèle compagnon, la fabrication et la mise en place du traineau du Père Noël, la découverte des lutins avant leur éternelle collaboration avec Santa, et la transformation d’un jeune homme bon en une créature redoutée nommée Krampus, j’ai cherché à offrir à mes lecteurs une expérience riche et immersive, les invitant à réfléchir, à se questionner et à voir le monde sous un nouvel angle. Chaque page de ce livre est le fruit d’une exploration profonde et sincère, et j’espère qu’il saura toucher ceux qui auront la chance de le découvrir.

En tant qu’écrivain, mon plus grand souhait est de créer un lien authentique avec mes lecteurs, de les émouvoir, de les inspirer et de les faire réfléchir. Avec « Noël les Origines », j’ai voulu partager une partie de moi-même, en espérant que mes mots trouveront écho dans le cœur et l’esprit de ceux qui les liront. Je suis reconnaissant pour cette opportunité de partager ma passion avec vous tous, et je vous remercie du fond du cœur pour votre soutien et votre intérêt pour mon travail.

 

L’AUTO-EDITION

Être un auteur autoédité est une aventure à la fois exaltante et semée d’embûches. Si l’indépendance offre une liberté totale sur son œuvre, elle s’accompagne également de responsabilités importantes. Loin du confort d’une maison d’édition, l’auteur doit endosser plusieurs rôles : écrivain, éditeur, correcteur, graphiste, marketeur et distributeur.

L’un des premiers défis est la crédibilité. Sans l’aval d’un éditeur reconnu, il faut convaincre les lecteurs que son livre mérite leur attention. La qualité du texte, la mise en page, la couverture et même le résumé doivent être impeccables, car une première impression ratée peut condamner un ouvrage à l’oubli. Ensuite, vient la promotion, souvent perçue comme le nerf de la guerre. Sans une équipe dédiée, l’auteur doit apprendre à naviguer sur les réseaux sociaux, construire une communauté, solliciter des journalistes, organiser des campagnes publicitaires et participer à des salons. Cette visibilité, pourtant essentielle, demande du temps et de l’énergie, souvent au détriment de l’écriture elle-même. La distribution est un autre casse-tête. Si des plateformes comme Amazon facilitent l’accès au marché, elles imposent leurs propres règles et prennent une part significative des bénéfices. De plus, sans le réseau des librairies physiques, il est difficile de se faire une place aux côtés des auteurs publiés traditionnellement. Enfin, il y a la solitude. L’autoédition est un parcours solitaire où l’auteur ne bénéficie ni du regard bienveillant d’un éditeur ni du soutien logistique d’une équipe. Chaque échec, chaque difficulté repose uniquement sur ses épaules, rendant parfois la route décourageante. Mais malgré ces obstacles, l’autoédition permet une relation unique avec les lecteurs, une liberté totale sur son art et la satisfaction de voir son travail aboutir sans compromis. C’est un combat, mais pour ceux qui persistent, c’est aussi une formidable aventure.

 

DE L’AUTEUR AU LECTEUR

Le concept « de l’Auteur au lecteur » repose sur l’idée d’un échange simple et humain : celui de transmettre une œuvre directement, sans multiplication d’intermédiaire qui complexifient le processus et grignotent la juste rémunération de l’auteur.

Dans la même optique que celle du producteur au consommateur, ce principe valorise la création en la remettant au cœur même du système : l’auteur propose son travail, le lecteur le soutient et l’apprécie, et les deux parties établissent ainsi une relation d’écoute et de partage. En supprimant les maillons superflus de la chaîne, nous affirmons notre volonté de respecter et de récompenser le labeur artistique à sa juste valeur. Il ne s’agit pas de nier l’importance de certains métiers de l’édition ou de la distribution, mais de veiller à ce que ceux-ci n’empiètent pas outre mesure sur les revenus de l’auteur. Dans un modèle « de l’Auteur au lecteur », chacun retrouve sa place : – L’auteur conserve sa liberté de création et de diffusion, en gardant un meilleur contrôle sur ses droits et ses revenus. – Le lecteur accède à l’œuvre à un prix plus juste, tout en ayant la satisfaction de soutenir directement l’artiste. Cet engagement s’inscrit dans une démarche éthique où la valeur de l’œuvre artistique prime sur les contraintes économiques et administratives. En adhérant à cette charte, nous affirmons notre volonté de promouvoir un espace culturel plus responsable et transparent, où le lien « de l’Auteur au lecteur » n’est pas entravé par des barrières inutiles, mais porté par la volonté commune de faire rayonner la création.